Beaucoup de compatriotes ont dans le temps savouré l’anecdote sur la mésaventure de ce chauffeur de tap- tap sommé par le chef de la Police de Port-au-Prince de changer le nom « L’Esprit du Diable » qu’il avait donné à son véhicule, sous peine d’amende et de suspension de son permis de conduire. Il avait un délai de 24 heures pour obtempérer. C’était pendant l’année de célébration du tri-cinquantenaire de la proclamation de l’Indépendance et les touristes affluaient. Il ne fallait pas confirmer l’idée très répandue à l’époque (et encore aujo