Pour la société civile de la Grand'Anse, le silence est tout sauf une option par rapport à l’ampleur de la détresse des populations affectées par l’ouragan Matthew. Plus de cinq mois après ce désastre, « nous ne sommes pas loin d’une alerte pour cause de famine dans la Grand'Anse », a confié au journal Monode Joseph, le président de la Chambre de commerce et d’industrie de la Grand'Anse, le jeudi 23 mars 2017. Les gens ont faim. Des parcelles obstruées par des troncs d’arbres ne sont pas cultivées. Dans les villes, à Jérémie par exemple, on obs
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