« La police m’a demandé de mettre mes mains en l’air. Puis, on m’a dit de ne pas bouger. J’ai été menotté immédiatement avant même qu’on ne me demande de m’identifier », peut-on lire sur la page Twitter de Wyclef Jean. « On ne m’a pas dit non plus pourquoi j’étais menotté. Entre-temps, je leur ai dit mon nom et je leur ai dit qu’ils avaient arrêté la mauvaise personne. Ils ont continué à m’ignorer et j’ai été traité comme un criminel jusqu’à ce qu’un autre agent de police arrive et leur montre qu’ils avaient la mauvaise personne », a-t-il pours
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