Sans changement dans son cabinet ministériel, malgré les dernières négociations de mardi, histoire d’aplanir le terrain politique, le Premier ministre nommé s’est frotté aux doléances des élus, à la limite à leurs supplications, aussi diverses que copieuses, durant plus de 12 heures. Il ne pouvait aucunement s’y échapper. Parce que ça colle à l’histoire parlementaire. Parce que les retards, les carences de l’Haïti profonde, ou encore mieux rurale, sont gargantuesques et qu’il a fallu au PM de prendre note à chaque flot de demandes et égrener de