La ville s’impatiente. Elle jubile. Elle sourit. Mais elle reste insensible au tohu-bohu résultant des rotations en boucle des méringues et des martèlements persistants. Ce jeudi matin, il n’y a pas que le branle-bas des travaux de construction des stands, s’étendant sur une bonne partie du boulevard des 4 chemins, qui peint cette ère de carnaval. Les écoliers aussi, bien coiffés pour le carnaval scolaire, y apportent leurs couleurs. Des travailleurs du service de la voirie s’attellent à redonner à la ville sa propreté légendaire. Les gagne-pai
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