Puisque la crise se propage, l’historien de l’économie prend la sage décision d’aller voir. Ce que fit John Kenneth Galbraith en tournant le regard vers l’Europe et surtout en entreprenant le voyage sur le vieux continent. En 1937 et 1938 –donc très jeune- il visita des pays tels que France, Allemagne, Italie, Autriche, Tchécoslovaquie, Pologne et Scandinavie. Dans le chapitre «Le reste du monde», il raconte les mésaventures de l’économie britannique. Il souligna que la France fut le pays le moins affecté par la Grande Crise. La raison : «Le g