Quand Chouk Bwa Libète électrifie l’IFH

Des lampions comme ceux qui illuminent les cathédrales plongées dans l’ombre le soir sont posés sur la scène.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
06 févr. 2017 | Lecture : 2 min.
Des lampions comme ceux qui illuminent les cathédrales plongées dans l’ombre le soir sont posés sur la scène. C’est un élément de décor qui confère une touche de romantisme au « Jeudi mizik » de ce 2 février. En cette date où l’église célèbre « la Chandleur », l’Institut français ne pouvait probablement pas trouver mieux que Chouk Bwa Libète pour un show lumineux. Le spectacle peut être divisé en deux parties. Une où les artistes s’habillent en blanc et une autre où ils arborent des costumes évoquant un peu les tenues Bayadères. La soir
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