Le camp d’hébergement Acra subsiste Sept ans après le séisme

La volonté d’abandonner l’espace est là, mais en attente de l’allocation de 20 000 gourdes promise par l’OIM, des dizaines de familles sinistrées après le séisme dévastateur de janvier 2010 occupent toujours le camp d’hébergement Acra (partie Sud) à Delmas 33. Si quelques-unes d’entre elles jettent l’éponge, d’autres habitent l’endroit depuis 7 ans avec une longue liste de problèmes ajoutés au désespoir.

Michelson Césaire
Par Michelson Césaire
12 janv. 2017 | Lecture : 3 min.
Au milieu des détritus, des voitures abandonnées, des arbres défraichis, des tentes sont encore débout au site Acra à Delmas 33 (partie Sud). Construits le lendemain du cataclysme de 2010, les prélats qui couvrent ces pavillons sont complètement délabrés. Des dizaines de familles continuent à moisir dans ce site dans des conditions infrahumaines. Dans la partie nord du camp d’hébergement Acra, plusieurs familles ont été déplacées par l’OIM peu avant la commémoration du 12 janvier 2017. Les autres sont en attente depuis une semaine. C’est
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