Déjà en 1862, Victor Hugo , fatigué de l’injustice et de la violence faites au peuple de France par la société vagabonde de Paris, écrivait dans « Les Misérables»
Avec une tristesse sans pareille et une violence visible comparable à la violence des rues mais , invisible, qui égale les vingt années du pouvoir Lavalas, je mène chaque nuit une lutte contre l’idée d’un suicide et contre la violence politique exercée par le président Préval, Lavalas, Espoir et INITE sur « Les Misérables » d’Haïti en ces jours funestes de fin de règne.