Bèbè gòlgota, radiographie d’une société délabrée

La Direction nationale du livre (DNL) a organisé en ses locaux une conférence avec les poètes Anivince Jean-Baptiste et Iléus Papillon sur l’œuvre « Bèbè gòlgota» du romancier Pierre Michel Chéry. À sa manière, l’ouvrage dénonce la migration externe.

Orso Antonio Dorélus
orsodoranto@gmail.com
Par Orso Antonio Dorélus orsodoranto@gmail.com
25 janv. 2017 | Lecture : 2 min.
Wilson Paulémond, le directeur du livre de la DNL, contextualise l’activité et passe la parole aux intervenants. Avant d’entrer dans le vif du sujet, Iléus Papillon, à travers une démarche diachronique, a présenté les différents romans créoles de la littérature haïtienne avec leurs différences. Car, pour lui, chaque époque est témoin de son art ou encore de son esthétique. Le livre « Bèbè gòlgota », publié en 2009 aux éditions Les presses nationales d’Haïti, réédité à compte d’auteur en 2016, raconte l’histoire d’un homme connu sous le
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