L’écriture de Daphné est une irruption dramaturgique dans un premier sens qui recouvre nos yeux, nos esprits par des milliers de tonnes de boue et de cendre. Une écriture qui fait des victimes. Une écriture qui ne raconte en aucun cas l’histoire d’Omayra Sanchez : petite fille colombienne, restée coincée sous le toit de sa maison en novembre 1985 suite à une éruption
volcanique. Une écriture qui n’immortalise pas le regard comme l’ont si bien fait les caméras du monde entier à cette époque. Ce n’est pas une quête d’une certaine beauté dans ce