Quand, dans la matinée du dimanche 8 juillet 2007, en visite chez la famille Léonard, un fidèle lecteur du journal, M. Jacques Pierre-Paul, ami de cette famille, s’amena, je ne m’attendais pas à son appréciation positive et encourageante au sujet de ma chronique «Carte blanche». «Boyer, me dit-il avant de prendre siège, je viens de lire votre article sur l’acteur français.»
«Ah ! Jean-Claude Brialy», précisai-je.
«Oui, Brialy, ça a éveillé bien des souvenirs en moi. Des films que j’avais vus dans le temps sont remontés dans ma mémoire… Vo