Imaginez que le Parlement ne vote pas d’ici novembre certaines lois, vous serez dans l’incapacité de recevoir un transfert. Imaginez qu’il vous coûtera plus cher pour en envoyer un à vos enfants à l’étranger. Que le pays aura des difficultés pour importer certains produits. Imaginez une longue liste non limitative d’autres mauvaises nouvelles.
Si, par manque d’action de notre part, les huit banques étrangères qui correspondent avec nos institutions financières décident de cesser leurs relations avec Haïti, 93% de nos exportations, 75% des tran