Nul n’échappe à la bêtise en Haïti, surtout pas la politique et le monde de l’art (Howard Becker, 2006) qui, en nommant Tony Mix « ambassadeur de la culture haïtienne », font preuve, en la matière, d’une balourdise inépuisable. Cette couillonnade parmi les variétés les plus retorses, une ineptie que bon nombre de gens qualifient d’hideuse, occupe une place de choix dans les débats sur les réseaux sociaux. Mais s’il est une chose qui puisse faire reculer cette énorme foutaise, c’est l’hilare de l’interversion.
En prenant pour thème de réflex