Je me préparais à réagir, ou mieux, à faire le point sur la controverse soulevée par l'affiche de la BRANA. S.A. pour deux raisons majeures :
l'une, comme ancienne directrice générale du ministère à la condition féminine et aux droits de la femme (5 ans), j'ai eu à participer à la conception, à l'élaboration et à l'exécution de politiques publiques en faveur des femmes dans une période post-Beijing et post-ODM,
l'autre, comme militante de droits humains, formée au féminisme matérialiste et épuré des Rosa Luxembourg et Alexandra Kollontaï, je