La nécessaire contrepartie pécuniaire

D’aucuns expriment le besoin d’un pécule, c’est-à-dire d’une somme modique pour payer un achat, liquider une créance.

Jean-Claude Boyer
Samedi 23 janvier 2016
Par Jean-Claude Boyer Samedi 23 janvier 2016
11 févr. 2016 | Lecture : 2 min.
D’aucuns expriment le besoin d’un pécule, c’est-à-dire d’une somme modique pour payer un achat, liquider une créance. D’autres parlent de viatique. Exemple : j’ai donné un viatique à un jeune ami. Il y en a qui parlent de subside. Quel que soit le cas de figure, la règle formelle ou informelle, écrite ou coutumière de la contrepartie a été observée. J’y ai repensé au matin du samedi 23 janvier devant l’étal d’une marchande de confiseries qui tient son négoce devant l’église St-Pierre. Deux fillettes venues assister à une cérémonie de funéraille
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