Syto Cavé/«Le singe du dormeur»/Nouvelles

La vie de tous les jours dans une ville d’eaux (Suite et fin)

Je ne cesserai pas d’insister sur sa prose élégante qui est comme une marque de fabrique.

Jean-Claude Boyer
Jeudi 7 mai 2015
Par Jean-Claude Boyer Jeudi 7 mai 2015
20 mai 2015 | Lecture : 3 min.
Je ne cesserai pas d’insister sur sa prose élégante qui est comme une marque de fabrique. Du récit «Une femme à la fenêtre», je tire ce qui suit : «Et quand bien même poindrait une lueur jaune, lointaine, par-delà cette sombre embrasure, nul soupçon ne viendrait à l’esprit qu’un être humain pût vivre là …» Ou : «Ils grandiront, bien sûr, à la faveur des jours, et deviendront des hommes.» Syto possède, donc, la facilité de trouver des formules heureuses. Je continue à relever des passages où la prose est imprégnée, absorbée par la très fort
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