« Je devais savoir. Je voulais voir à quoi ressemble le jazz. »
Robe noire, cheveux crépus, sac en bandoulière, elle se fraye un passage entre ces quelques chaises vacantes pour prendre la sortie. Ses yeux s’allument dans la pénombre. L’inquiétude qui traverse son regard ne se masque pas. La soirée, a-t-elle été déconcertante ?
« J’ai gaffé, confie rapidement la petite de 17 ans. J’ignore ce qui m’attend à la maison. Quand j’ai appris sur Facebook que la Fokal accueillait le jazz, j’ai demandé à mes parents la permission de sortir mais ils o