Cher (e) écolier( e ), cher ( e) élève,
Ma première pensée est pour tes condisciples qui ne sont pas encore, comme toi, sur les bancs de l’école, faute de moyens économiques de leurs parents. Merci de bien les accueillir quand ils te rejoindront, surtout s’ils ne portent pas encore d’uniforme.
Puisque tu as la chance d’être en salle de classe dès ce mois de septembre, tu as aussi le devoir de réussir et d’aider tous tes camarades à faire de même. Tu pourras ainsi mieux contribuer au développement de ton pays pour qu’aucun enfant ne traîne