L’opposition politique n’a pas pris de temps pour rappeler à l’Organisation des Etats américains (OEA) qu’elle a déjà fait assez de tort au pays en s’immisçant trop souvent dans ses affaires. Parallèlement, INITE, Fanmi Lavalas et la Fusion croient que la solution à la crise doit passer par le dialogue entre les protagonistes.
L’aile dure de l’opposition politique ne veut pas entendre parler de l’Accord d’El Rancho même si elle est prête à dialoguer avec le chef de l’État sur la crise préélectorale. Elle s’en est prise à l’OEA qui a invité les