En face de la maison Henri Deschamps, au boulevard Jean-Jacques Dessalines, communément appelé Grand-rue, plus d’une vingtaine de femmes assises devant des tréteaux, certaines plus agressives que d’autres, harcèlent chaque passante, plus ou moins jeune, en vue de lui offrir des services de beauté. Dans cet environnement insalubre, pullulent des studios de beauté et des salons de coiffure informels. Sous des tentes rappelant le séisme meurtrier du 12 janvier, certaines se soucient encore de leur beauté.
Quasiment méconnue avant le tremblemen
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