De ce cercle amical de la reconnaissance de l’œuvre prolifique de Margareth Papillon qui, depuis longtemps, a dépassé, grâce à un patient travail de longue haleine, le stade des premiers balbutiements, j’ai préféré ne plus me tenir à l’écart. Je passe sur l’inventaire des grosses pointures – parfois démesurément louangées – de sa génération et j’en appelle à La Fontaine, qui aurait aimé l’esprit fourmi de Margareth Papillon qui s’est ainsi entassé un riche capital de thèmes, de variations, de sujets d’actualité et de société, de fantasmes, de r