Joëlle, c'est une amazone de 1,61 mètre. Très directe, très nature, avec elle, pas de mots incompris, pas de termes redondants. Elle nous reçoit sur une galerie très aérée tandis que sa fille cadette Alexandra mène les répétitions sur les mélodies gospel du long métrage sud-africain.
Elle se rappelle que petite, au collège du Sacré-Coeur, une certaine Nadine Dorlette (ndlr : mère de la tennisgirl Victoria Duval) suscitait de l'émulation de par sa dextérité en matière de danse. Elle raconte que celle-là brillait dans tout ce qui avait comme act