Un auditoire plutôt sympa, plus attentif et sensible a été encore une fois, à cette cinquième journée, épaté par la musique des jazzmen dans l'accueillante enceinte du Karibe.
Les retardataires s'empressent de rejoindre ceux qui jouissent déjà du goût d'un jazz plus brésilien que jamais. Il fait frais. Les serveurs défilent au rythme d'un swing exécuté en toute modestie par le batteur du Jazz 6 formé de cinq membres dont Luis Fernando Verissimo, l'un des plus célèbres écrivains du Brésil. Aussi, avec ce band qui nous vient de l'Amérique du Su