L’écrivain Makenzy Orcel, né à Port-au-Prince en 1983, vient de recevoir le prix Louis Guilloux (France) pour son dernier roman paru chez Zulma : « L'ombre animale »

Alain Mabanckou, écrivain congolais qui a fait une entrée fracassante au Collège de France en mars 2016, est devenu un véritable promoteur de la littérature noire auprès d’un public trop habitué à un formalisme académique.

Le jeudi 14 avril 2016, les jardins de l'Institut français en Haïti (IFH) a reçu l'artiste haïtien de renommée internationale, Belo, pour un concert convivial, une rencontre avec ses fans, pour célébrer ses dix ans de création musicale.

Les premiers romanciers haïtiens, à la différence de quelques poètes du 19e siècle, ont très tôt engagé leurs œuvres sans tomber dans la courtisanerie, en critiquant les mauvaises pratiques des politiques haïtiens, parfois même en mettant en scène des héros ou des anti-héros qui réussissent ou échouent en combattant l'oppresseur.

La lecture du premier roman d'un écrivain est un exercice qui plonge tout lecteur critique dans une certaine ambiguïté.

Léopold Sédar Senghor, né en 1906, au Sénégal, et mort en 2001, en France, est un lecteur cosmopolite, un intellectuel qui savait choisir ses livres. Lors d'une visite en sa résidence à Dakar, nous avons pu trouver, entre autres, des livres d'auteurs haïtiens dans sa bibliothèque personnelle.

Le Ministère de la Justice et de la sécurité publique (MJSC), suite aux accusations faites à l'endroit du chef de service du Cep en charge de la production des mandats, Joseph Herbert Lucien, a confirmé ce lundi 10 août 2015 « avoir demandé au commissaire du Gouvernement près le TPI (Tribunal de Première Instance, Ndlr) de Port-au-Prince de mettre l’action publique en mouvement contre le chef de service du CEP ».

L'Ambassade du Canada en Haïti a déclaré ce vendredi 7 août sur les réseaux sociaux qu'elle va déployer ses observateurs électoraux sur tout le territoire national afin de garantir des élections libres et transparentes.

Dans une note de presse publiée le mardi 4 août 2015, le Ministère de la justice et de la sécurité publique (MJSP) a, dans un premier temps, condamné les violences perpétrées dans diverses villes du pays au cours du processus électoral.