Félix Morisseau-Leroy, «Anpenpan» (1912-1998)

C'est une vieille et passionnante et mauvaise querelle, et d'autant plus pernicieuse que plus obsédante : il serait certain, absolument certain, intéressant et académique que créateurs et critiques ne peuvent s'accorder, ne peuvent cohabiter en un seul être.

Pierre-Raymond DUMAS
Cell : 3557-9628 / 3903-8505
Par Pierre-Raymond DUMAS Cell : 3557-9628 / 3903-8505
17 mai 2010 | Lecture : 6 min.
C'est une vieille et passionnante et mauvaise querelle, et d'autant plus pernicieuse que plus obsédante : il serait certain, absolument certain, intéressant et académique que créateurs et critiques ne peuvent s'accorder, ne peuvent cohabiter en un seul être. La question n'a rien perdu de son intérêt méthodologique et de son actualité. Dans cette querelle passablement secondaire, l'oeuvre de Félix Morriseau-Leroy a valeur de modèle. Batailleur, bourré d'idéal, progressiste engagé, novateur en matière de théâtre, Félix Morisseau-Leroy émerge dans
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