Les contradictions n'ont-elles pas été aplanies? Sitôt votée par l'assemblée des députés après deux semaines d'intenses tractations, la loi organique de l'UCREF révulse nombre de parlementaires. Le texte dans sa nouvelle formulation, qui prévoit qu'au moins trois des cinq membres du conseil d'administration seront, par ricochet, choisis par le pouvoir exécutif, vient consigner la «mainmise» et l'«instrumentalisation» d'une institution censée être indépendante par les politiques. «C'est grave, très grave», balance le député Abel Descollines, qui
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