N’est-ce pas avantageux pour la banque que le compte dormant ? Je m’étais laissé dire que oui, il semble que je me suis trompé. J’ouvre un compte d’épargne ; au nom de la liberté, de ma liberté d’épargner, de la liberté de mettre de côté mes maigres avoirs, personne, encore moins ma banque, ne peut m’obliger à y toucher pour un oui ou pour un non comme un poil à gratter.
Je détiens chez mon banquier deux mille dollars au titre d’épargne, plus je n’y touche pas, mieux il peut en disposer. Alors, où se trouve la nécessité de décider que mon co