Le sénateur Cantave dénonce un complot de la « majorité pro-Privert »

Le sénateur Carl Murat Cantave maintient que c’est le sénateur Steven Benoît qui l’avait « giflé en premier », avant de charger le président du Sénat, Ronald Larêche, signataire d’une lettre qualifiant son « comportement d’inacceptable », grave, attentatoire à la dignité du Sénat, lors de la conférence des présidents le 10 octobre dernier.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
20 oct. 2016 | Lecture : 3 min.
Le sénateur Carl Murat Cantave maintient que c’est le sénateur Steven Benoît qui l’avait « giflé en premier », avant de charger le président du Sénat, Ronald Larêche, signataire d’une lettre qualifiant son « comportement d’inacceptable », grave, attentatoire à la dignité du Sénat, lors de la conférence des présidents le 10 octobre dernier. « Président Larêche, je condamne et je proteste contre le complot que vous, le groupe majoritaire et le bureau pro-Privert, avez ourdi contre moi », a écrit le sénateur Cantave au président Larêche dans une
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