En principe, la réponse pourrait être, OUI!
Le gouvernement japonais avait, au prime abord, refusé l'aide internationale, en 2011. Le pays faisait face, alors à une triple catastrophe : Séisme, Tsunami et enfin, menace nucléaire.
Ce ne fut pas une décision émotionnelle. La rationalité motivait ce choix stratégique. Le gouvernement japonais voulait d'abord faire un état des lieux, identifier les besoins, déployer leurs forces tactiques, préparer la réception des volontaires internationaux , et ensuite donner le feu vert à l'international.