Ces propos cognent fort en Samuel. Chaque mot scandé est autant de coups de poing reçus à la poitrine. Pourtant, il n’a pas été agressé comme les quarante-sept personnes appartenant à la communauté des Lesbiennes Gays Bisexuels Transsexuels Intersexués Queer (LGBTIQ) que reçoit la SEROvie après la manifestation du 19 juillet 2013 au safe-house destiné à accueillir les LGBTIQ. Il a fallu que Samuel « pète un câble » pour que Réginald Dupont, coordonnateur de cette fondation de soutien psychologique et social au LGBTIQ et PVVIH, saisisse l’étendu
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