À Tabarre 68, l’Institution Notre-Dame fait la différence. Sur un pan de ses murs, des élèves, munis de leurs cordes, s’ingénient à porter Haïti pendant que d’autres soulèvent les bouts de la presqu’île, trop grande pour tenir sur l’attelle. Sur un autre pan de mur, d’autres élèves plantent des fleurs et soignent des arbres, tandis que plus loin un petit groupe danse avec des adultes (leurs parents peut-être) au rythme d’un tam-tam endiablé. Un petit bonhomme, lui, préfère l’herbe et la lecture. Ce débordement d’énergie ne laisse aucun doute qu
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