Sauf que m’était sortie de la tête l’apostrophe «mal bourik» lancée par un garçonnet à un plus grand qui s’était accaparé de la balançoire sur la petite place proche de ma maison. Comme ce dimanche soir du 4 septembre 2016, j’étais en route pour effectuer un tour de la place Boyer, j’ai dû rappeler à l’ordre le dégingandé qui monopolisait la balançoire. «Mal bourik !» est une apostrophe naturellement peu flatteuse.
Le lendemain matin, à l’aube, comme je m’étais réveillé pour attaquer la journée de la rentrée scolaire qui s’annonçait mouvemen