Sur la plage aux galets brûlants, les vagues viennent mourir à nos pieds dans un grand fracas de pierres bruyantes roulées par les courants. Il y a des garçons qui jouent au ballon, des filles qui jouent à la marelle et des mamans qui les surveillent de loin, derrière de sombres lunettes, d’épaisses couches de crème solaire et des paréos qui abritent tant bien que mal leur vertu de l’œil polisson du grand large.
Dans l’eau à la tiédeur accrue par la canicule de ces derniers jours, il y a des messieurs qui nagent si loin que l’on distinguera