«Orijin mwen se fyète m, aurait été un camp d’été lambda s’il n’avait pas cette appellation, s’il ne se tenait pas au Mupanah et surtout s’il n’était pas organisé par l’association culturelle Héritage Nou.» C’était en substance les propos de Martine Beaucicault, la présidente de la dite association pour en expliquer la dynamique.
Le camp d’été était, selon elle, une étape dans l’orientation de Héritage Nou qui fait partie d’un groupe de réflexion pluridisciplinaire regroupant des spécialistes en patrimoine, des professionnels du droit, des