« Il est possible que monsieur Jovenel Moïse manipule des fonds qui n’ont rien à voir avec ses entreprises. En attendant d’autres documents, ce rapport partiel est transmis aux autorités compétentes pour les suites utiles, et ce conformément à l’article 35 de la loi du 11 novembre 2013 relative au blanchiment et au financement du terrorisme », a conclu l’UCREF dans un rapport d’enquête sur les 14 comptes en banque de Jovenel Moïse, sa femme et ses entreprises : Jomar Auto Parts, Agritrans et Comphener S.A.
Parmi les éléments du rapport sign
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous