Choléra, l’ONU veut sortir de la fausse aisance du déni

Après plus de cinq ans de dénégations, de tergiversations, d’atermoiements, l’Organisation des Nations unies reconnaît du bout de la langue qu’elle a une part de responsabilité dans le retour et la propagation du choléra en Haïti plus d’un siècle après le dernier cas enregistré au pays.

Frantz Duval
Par Frantz Duval
19 août 2016 | Lecture : 3 min.
Après plus de cinq ans de dénégations, de tergiversations, d’atermoiements, l’Organisation des Nations unies reconnaît du bout de la langue qu’elle a une part de responsabilité dans le retour et la propagation du choléra en Haïti plus d’un siècle après le dernier cas enregistré au pays. « L’Organisation des Nations unies a une responsabilité morale envers les victimes de l’épidémie de choléra et celle d’aider Haïti à la surmonter et à mettre en place des systèmes sains d’adduction d’eau, d’assainissement et de santé », lit-on dans un communiq
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