La mèche a été allumée dans le camp de Wilson Jeudy. Ayant obtenu un second mandat à la tête de la première commune du pays, il accuse son prédécesseur d’avoir augmenté la masse salariale de l’institution qui passe à 18 millions de gourdes, et de n’avoir laissé que 4 millions de gourdes dans les caisses. La contre-attaque vient tout de go du camp de Yanick Mézile. Plus de 24 heures après que son bilan a été décrié, elle sort de ses gonds. L’ancienne ministre et vice-présidente du PHTK a rejeté d'un revers de main ces allégations, alors qu’elle
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