L’idée d’une visite à Cité Soleil soulève mille et une réflexions pour un non habitué de cette commune. Les fréquents conflits armés entre gangs rivaux transforment le grand bidonville en quartier de non-droit. Même l’imposant commissariat de cette zone élevée au rang de commune par l’ancien président Jean-Bertrand Aristide garde ses barrières presque fermées. Aucun policier n’est remarqué dans les parages en ce dernier mardi du mois de mai. Les soldats de la Minustah qui montent la garde devant leur base sont lourdement armés. Comme sur le cha
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous