Des fleurs. Des plaques. Mais surtout de l’amour de l’autre. Victor Benoît, politique, homme de grande culture, en en reçus. Beaucoup. Celui dont le sang est infesté du virus de la passion de l’enseignement, dont le combat contre la dictature duvaliérienne n’est pas à démontrer, est porté aux nues. « Vous m’avez beaucoup donné », lâche Victor Benoît, ému, costume gris, cravate rouge à grosses rayures bleues. La vanne des confidences s’ouvre. Il parle aussitôt de sa longue carrière, en brosse les grands moments, retourne aux sources des souvenir
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