Prenons le réparateur de pneu, plus communément appelé dans le milieu par un étrange anglicisme le «caoutchouman». Son utilité est certaine. Il suffit que l’automobiliste s’aperçoive de la baisse de la pression d’air dans un pneu pour qu’il s’en inquiète. Ou il place le pneu de rechange ou il s’empresse de s’arrêter auprès du réparateur. Mais à quoi bon se donner la peine de la première option ? Puisque les réparateurs, répondant à un besoin –celui d’une urgence- ont comblé le vide laissé par les stations-service. Autrefois, l’automobiliste s’a