Les personnes à mobilité réduite, les sourds-muets et les non voyants, pour la énième fois, ont sorti de leur silence pour exiger le respect de leurs droits. Ils disent estimer qu’en dépit de leur lutte perpétuelle, l’intégration reste un calvaire. « Beaucoup de bâtiments publics ne sont pas adaptés. La priorité n’est pas toujours accordée aux handicapés », a condamné Banel Jean-Baptiste, traducteur pour les muets dans l’Artibonite.
Junia Pierre-Charles, responsable d’une organisation, s’est dit affligée par le traitement octroyé aux handica
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