Au moment où un grand nombre d’observateurs se préparaient à assister à la séance de déclaration de politique générale du Premier ministre Fritz Jean à travers leur petit écran, les députés ont semé la pagaille en infirmant le quorum. Désaccords, accusations de corruption, agressions verbales, suspicion et méfiance constituent en quelque sorte le noeud gordien de cette séance où le Premier ministre n’a pu faire l’exposé de sa déclaration de politique générale comme prévu depuis lundi par la Chambre des députés. Ce texte nécessaire à l’organisat
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