Gérard de Catalogne opine que M. Mauriac a créé (...) une galerie de héros et d’héroïnes uniques dans la littérature du XXe siècle. « Quand on les a connus, poursuit l’essayiste, on ne peut plus les oublier. Tous cherchent à s’évader de leur milieu, à ne plus subir leur fatalité, à combler leur vide. Les amours même adultérins, les haines même familiales, les désirs même malsains, tout est décrit, car, pour l’auteur, la dissimulation est le plus honteux des vices.»
Le résumé que de Catalogne fait du roman « Le désert de l’amour» est édifiant