Je me souviens encore de l’anxiété quand j’avais un copain, à savoir, comment allait se dérouler la journée, aimerais-je sa surprise (messieurs, même quand on vous raconte que vous êtes notre plus beau cadeau, nous nous attendons toujours à quelque chose ; le prix n’a pas de valeur, mais l’attention vaut de l’or) ? Vais-je encore aimer sa gueule demain matin ? Devrais-je rompre avec lui ce 13, ou attendre le 15 ou le faire le 14 ?
Si avoir un copain inclut toutes ces calamités, je ne vous parle même pas des Saint-Valentin où je suis seule !