Les « Don’t » de la Saint-Valentin

Y aurait-il une nuit plus stressante que celle du 13 février ? En couple ou pas, faire face au jour de l’Amour n’est jamais un passage simple. Pour avoir vécu l’expérience des deux cas, je témoigne que la nuit du 13 nous rend le cœur lourd.

Gabrielle Jones
Par Gabrielle Jones
12 févr. 2016 | Lecture : 3 min.
Je me souviens encore de l’anxiété quand j’avais un copain, à savoir, comment allait se dérouler la journée, aimerais-je sa surprise (messieurs, même quand on vous raconte que vous êtes notre plus beau cadeau, nous nous attendons toujours à quelque chose ; le prix n’a pas de valeur, mais l’attention vaut de l’or) ? Vais-je encore aimer sa gueule demain matin ? Devrais-je rompre avec lui ce 13, ou attendre le 15 ou le faire le 14 ? Si avoir un copain inclut toutes ces calamités, je ne vous parle même pas des Saint-Valentin où je suis seule !
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