Michel Martelly doit partir le 7 février mais il doit aussi faire partie de la solution, selon Réginald Boulos

Il a fallu que le président de la République ait sollicité du Conseil permanent de l'OEA l'envoi d'une mission en Haïti en vue de résoudre la crise actuelle pour que Réginald Boulos sorte de son silence. L'ex-coordonnateur de la commission consultative en 2014 ne partage pas la vision du chef de l'Etat.

Danio Darius
Par Danio Darius
28 janv. 2016 | Lecture : 3 min.
«J'aurais préféré que ce soit les acteurs haïtiens, c'est-à-dire le président de la République, le Parlement, les responsables des partis politiques regroupés au sein du G-8 ainsi que ceux qui sont engagés dans la course, qui s'assoient autour d'une table afin de trouver le plus petit dénominateur commun», a déclaré Réginald Boulos, qui croit que la date du 7 février devrait interpeller tous les Haïtiens et principalement les élites politiques et sociales. Réginald Boulos n'est pas pour autant dupe. «Il y aura des opinions divergentes», re

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