« Nous n’allons pas voter, nous sommes en rébellion », c’est le cri de guerre des manifestants de l’opposition. Un cri de résistance et de désobéissance qui raisonne à quelques jours du second tour de la présidentielle. À mesure que l’on s’approche de la date du 24 janvier, la colère continue de monter dans les rues. Pour une deuxième fois en deux jours, plusieurs milliers de personnes sont descendues dans les rues de Port-au-Prince pour appeler à l’annulation du second tour de la présidentielle programmé au 24 janvier.
« Notre lutte vient d’a