Le Nouvelliste (L.N.) : N’éprouvez-vous pas une certaine appréhension d’organiser le festival international de Jazz de Port-au-Prince sur fond de crise électorale ?
M.S. : A votre avis Claude Bernard? Nous travaillons à la mise en œuvre de ce festival depuis près d’un an. Impossible de tout bouger à la dernière minute, c’est une grosse machine. Alors, appréhension, certes, mais c’est aussi la détermination et la passion qui nous animent encore et toujours. En revanche, la sagesse et la raison seront de mise, nous ne prendrons aucun risque, n
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous