Sous les tentes, six ans après...

Au lendemain du séisme du 12 janvier, nombreuses sont des personnes qui, ayant perdu leurs maisons, avaient été placées dans des abris provisoires. Mais six ans après, en dépit des efforts consentis par les autorités, environ 59 000 personnes continuent à moisir encore dans 37 camps, dans des conditions infrahumaines.

Worlgenson NOEL
gensonoel@gmail.com
Par Worlgenson NOEL gensonoel@gmail.com
18 janv. 2016 | Lecture : 4 min.
La commémoration du séisme du 12 janvier 2010 fait ressasser les funestes souvenirs d’un épisode douloureux de notre histoire. Les images de ces camps, accueillant des centaines de milliers de personnes depuis 2010, expriment la misère qui ronge l’existence de cette partie de la population qui évolue dans ces camps. Leurs conditions de vie sont infrahumaines. Les moustiques, l'insalubrités et les odeurs pestilentielles qui marchent avec infestent leur environnement et sont nocives pour leur santé. Qu’ils s’agissent des camps Canot à Canapé-vert
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