La commémoration du séisme du 12 janvier 2010 fait ressasser les funestes souvenirs d’un épisode douloureux de notre histoire. Les images de ces camps, accueillant des centaines de milliers de personnes depuis 2010, expriment la misère qui ronge l’existence de cette partie de la population qui évolue dans ces camps. Leurs conditions de vie sont infrahumaines. Les moustiques, l'insalubrités et les odeurs pestilentielles qui marchent avec infestent leur environnement et sont nocives pour leur santé. Qu’ils s’agissent des camps Canot à Canapé-vert