Per fas et nefas, il y aura des élections, s’entendent l’exécutif et le CEP

Au pays du réalisme merveilleux et d’Albert Buron, aucun miracle n’est impossible.

Frantz Duval
Par Frantz Duval
05 janv. 2016 | Lecture : 3 min.
Au pays du réalisme merveilleux et d’Albert Buron, aucun miracle n’est impossible. Lundi, les délais étaient trop courts pour mener à bien les élections dans le respect des échéances constitutionnelles si on les tenait le 17 janvier 2016, avait écrit le Conseil électoral au président de la République. Mardi, après un huis clos productif, les deux parties s’entendent : on repousse le scrutin d’une semaine, on le programme pour le 24 janvier et on sera dans les temps pour que tout se passe à temps, a écrit le même signataire de la lettre de la ve
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